Remarques diverses
Optimisation du programme Le programme a été conçu de sorte à obtenir une fonction principale la plus simple possible. Le maximum de fonctions a été créé. Ceci dans le but d’obtenir une lecture facile du programme, et surtout de pouvoir tester les modules séparément afin de trouver les erreurs éventuelles dans les codes. Une fois le programme créé, nous avons optimisé le programme en remplaçant les variables entières (int) en caractères (char), ce qui a permis de conserver le plus de mémoire possible lors de l’exécution des différentes fonctions du PIC.
Amélioration de la partie matérielle
Pour des questions de meilleure visibilité, nous avons réduit au maximum le nombre de câbles émanant de la carte Pico-API. Les cartes ont été dotées de pieds (vis), afin de surélever leurs soudures pour éviter tout faux contact, mais également pour qu’il n’y ait pas de courts-circuits entre le support métallique de la maquette et la carte reliée aux générateurs de tension.
Problèmes rencontrés A part les problèmes concernant le nombre de sorties disponibles sur la carte Pico-API et le nombre de voyants, que nous avons déjà évoqué, d’autres problèmes nous sont apparus. Tout d’abord il y a eu des problèmes extérieurs concernant la livraison de certains composants. Lorsque l’assemblage de la carte a été terminé, elle n’a pas fonctionné correctement et il a fallu rechercher les erreurs en mesurant le passage du courant à travers les circuits. Nous étions déjà fin février et nous ne savions toujours pas si la partie pratique du PPE allait aboutir. Nous avons trouvé, avec l’aide des professeurs de Génie électrique l’erreur : elle provenait d’un mauvais choix de résistance. En effet, le document constructeur nous indiquait de placer des résistances de 10 000 ohms, alors qu’il n’en fallait que de 1 000 ohms, car avec une valeur si élevait, il n’y avait plus suffisamment de courant, et donc de puissance qui gérait la carte. En raison de ces différents problèmes, nous n’avons pu tester notre programme sur la carte Pico-API que très tardivement, début Mars. Mardi 9 mars, des défauts ont encore été découverts sur la carte, toujours des problèmes de résistances trop élevées. Les pertes des temps dues à des erreurs qui n'auraient pas dus exister, car étant dues aux informations erronées du magazine montrant le schéma de la carte, ont été assez conséquentes depuis le début de l'année. Sans compter des bornes de cablâges qui n'étaient pas dans l'ordre indiqué sur les schémas, et dont nous nous sommes rendus compte de ceci la dernière séance... C’est alors qu’au premier test du programme en câblage complet du système Maquette-Ascenseur / Carte Pico-API / Carte Interface, un problème est survenu, et rien ne se passait. Après plusieurs tests, nous avons estimé que c’était une erreur de programmation. Nous nous sommes donc mis à la chercher, en testant plusieurs zones du programme séparemment… Mais le délai avant cette prsé PPE est extrême Tous ces problèmes ont eu pour conséquence que nous n'avons pu tester en réel le programme de commande que mardi 9 mars... Et il y avait évidemment des bugs...
Les logiciels utilisés
Les logiciels utilisés sont C2C, qui sert à la fois de compilateur et d'assembleur. En tant que Compilateur, il permet de rédiger le texte. De plus, avec son code de couleurs, et son assistant de programmation de carte PIC, il est assez facile à utiliser. La fonction Assembleur permet de créer le programme dans un langage compréhensible par le microcontrôleur à partir du programme écrit en C. Au final, ce logiciel crée notamment un fichier en hexadécimal. Ce fichier hexadécimal va ensuite être exécuté par une autre application qui s'appelle IcProg. IcProg est un programmateur. Il permet de transférer le programme créé en hexadécimal vers le PIC. Son utilisation est assez simple.
Compilateur C2C
Assembleur C2C
Programmateur IcProg
|